• Chili

    Chili

    La carte du Chili : ici

  • C’est au terme d’un long périple que nous atterrissons sur l’île de Pâques. Départ d’Auckland le 12 avril vers 16h, arrivée le jour même vers 12h à Santiago après 11h de vol (oui oui, avec le décalage horaire, nous sommes arrivés avant de décoller…). On reprend un avion le 13 avril au matin après quelques insomnies durant la nuit puisque notre corps ne voulait pas dormir ; encore 5h de vol au dessus du Pacifique et nous voilà enfin sur l’île de Pâques ou Rapa Nui de son vrai nom. Il s’agit de l’île la plus isolée au monde puisqu’elle se situe à 3700 km des côtes chiliennes à l’est et à 4000 km de Tahiti à l’ouest.

    On l’appelle île de Pâques car elle a été découverte par un hollandais le dimanche de Pâques de l’année 1722. 

    L’île de Pâques est une île volcanique d’environ 6000 habitants concentrés dans le village de Hanga Roa au sud ouest. L’île possède un caractère mystérieux lié à la présence de moai (statues de pierre géantes) éparpillés sur l’île.

    Ile de Pâques (ou Rapa Nui)

    Pour bien comprendre l’histoire et la culture, nous avons fait un tour de l’île avec une guide locale francophone. Nous avons apprécié le fait de nous imprégner de la culture pascuane aux côtés d’une descendante rapa nui qui se décrit comme une moai qui parle. Elle nous a raconté que selon la tradition orale, les premiers hommes ont débarqué sur l’île en provenance de Polynésie aux environs de l’an 400 sur la seule plage de l’île, Anakena. La communauté était faite de plusieurs tribus avec un roi pour toute l’île. Les statues moai étaient taillées et érigées non pour honorer les dieux mais leurs ancêtres. C’est ainsi que pendant presque un millénaire, près de 900 statues ont été fabriquées. Parmi elles, 300 ont été transportées sur l’île et dressées sur des plateformes qu’on appelle ahu. Cependant, tous ces moai ont été renversés lors de guerres tribales et par des pirates à partir du XVIIème siècle. Tous les moai à nouveau debout ont été restaurés récemment. Il y a par exemple le beau site de Tongariki où 15 moai alignés semblent nous observer dos à la mer ou encore celui de la plage d’Anakena où trônent 5 moai avec leurs chapeaux ou pukao.

    Ile de Pâques (ou Rapa Nui)

    Nous avons également visité la carrière Rano Raraku sur le flanc d’un volcan où étaient taillés les géants qui pèsent plusieurs tonnes. La construction était un travail titanesque. Pour les transporter sur l’île, les hommes utilisaient des troncs d’arbres. Au XVIIème siècle, le manque de bois a mis progressivement fin au déplacement des moai. C’est pourquoi il reste encore 400 moai dans la carrière ; le plus grand mesure 21 m et pèserait 160 tonnes mais n’a jamais été achevé. Sur le site, on se promène au milieu des têtes qui semblent attendre leur destinée. Ca semble irréel !

    Ile de Pâques (ou Rapa Nui)

    A la fin de l’ère des moai, un nouveau culte a pris de l’importance : celui de l’homme-oiseau. Ils ont alors construit le village d’Orongo dans un lieu improbable, sur le bord du cratère d’un autre volcan juste au bord d’une falaise surplombant l’océan. Le site restauré se visite aujourd’hui. Après une marche épuisante et un égarement, nous sommes bien récompensés en arrivant au sommet : la vue sur le cratère présentant un fond marécageux est époustouflante.

    Ile de Pâques (ou Rapa Nui)

    Pour terminer notre séjour, nous avons assisté à un spectacle de danses et chants rapa nui d’une énergie débordante. (une vidéo en cliquant ici)

    Durant ces quelques jours, nous avons parcouru l’île en 4x4, au milieu des chevaux et des vaches en liberté pour la plupart, dans un environnement de vieux volcans, de pierres noires, de prairies et de côtes rocheuses frappées par l’océan.

    Au final, nous avons vraiment été enchantés par la découverte de cette île unique au monde et de ses nombreux attraits.


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  • Mercredi 18 avril, nous voilà de retour à Santiago. Nous avons passé un jour et demi à nous promener dans les différents quartiers. Nous avons débuté par l’ascension en funiculaire du Cerro (=colline) San Cristobal.

    De Santiago à Puerto Montt

    Au sommet, il y a une belle vue sur toute la ville. On peut voir, un peu masquée par le gros nuage de pollution, la chaîne de montagnes juste derrière la ville. La statue de la vierge Marie qui protège les habitants de Santiago domine la colline ; le lieu est très reposant. On redescend en passant par le quartier universitaire de Bellavista, un bien joli quartier, avant de prendre la direction du centre-ville. Un petit tour par le marché de poissons, le palais du gouvernement et une glace sur la Plaza de Armas achèvent notre visite.

    Santiago est une ville agréable et nous avons pu constater que les chiliens sont des personnes très « chaleureuses » et pas du tout pudiques dans leurs étreintes !

    Nous avons pris un bus pour nous rendre à Valparaiso, ville portuaire aux collines colorées. Nous y avons retrouvé Cécile et Sylvain, qui nous ont fait une visite guidée des meilleurs endroits. (Merci !) La ville est composée de petites maisons colorées et de ruelles décorées par des fresques.

    De Santiago à Puerto Montt

    Pour déambuler dans la ville très nivelée, il faut soit monter des escaliers bien raides soit emprunter des petits ascenseurs à l’ancienne. Nous sommes ainsi montés dans l’Ascensor Concepcion, le plus vieil ascenseur de la ville encore en fonctionnement, datant de 1883 !

    Vendredi 20 avril, un long trajet en bus nous attend (11h). En effet, nous parcourons 800km de nuit pour rejoindre Pucon. (et non pas Picon…) La nuit se passe relativement bien mais nous arrivons un peu fatigués quand même ! Du coup, on suit une australienne qui nous dit avoir réservé une chambre dans un petit hôtel sympa… Bref, une fois de plus, c’était une mauvaise idée : on se retrouve dans un dortoir de 5 personnes avec seulement 2 salles de bains pour la vingtaine de personnes dormant dans ce petit hôtel « sympa » ! Le soir même, on part à la recherche d’un autre logement pour les jours suivants et on trouve un petit gîte local avec salle de bains et cuisine privées pour le même prix. Ce sera beaucoup mieux. 

    Par ailleurs, Pucon est une petite ville nichée entre un joli lac et le superbe volcan Villarica. On se balade au milieu des chalets qui font le charme de Pucon dans l’ombre fumante du volcan toujours actif. Heureusement, d’après le sémaphore d’alerte volcanique, le volcan est actuellement au repos.

    De Santiago à Puerto Montt

    Nous profitons de nos quelques jours ici pour faire une balade à cheval sur les terres des indiens mapuches. Nous sommes plutôt débutants en équitation alors lorsque les chevaux se mettent à galoper en fin de balade, ça nous fait tout drôle et on ne fait plus les fiers… Les paysages étaient jolis et la petite dégustation de spécialités locales bienvenue ! Et pour finir l’après-midi, le guide trouve utile de nous déguiser en costume traditionnel mapuche… Un peu kitsch mais toujours comique.

    Nous sommes aussi allés dans l’un des nombreux centres thermaux des alentours, Los Pozones. C’était dans un beau cadre au milieu des montagnes mais comme nous étions allés il y a quelques semaines à Hamner Springs (en Nouvelle-Zélande pour ceux qui suivent), ça nous a paru un peu redondant.

    Enfin, nous sommes aussi allés pique-niquer au bord du lac Caburgua toujours au milieu des montagnes. Il faisait très beau et l’endroit était presque désert. Nous avons passé une belle journée.

    Mardi 24 avril, on continue à descendre vers Puerto Montt et on fait une escale à Puerto Varas après 6h de bus. C’est un peu la petite sœur de Pucon car elle est, elle aussi, dans une zone volcanique et près d’un lac. Deux beaux volcans la surplombent : Osorno et Calbuco. En se promenant dans les rues, on se rend vite compte de la petite touche allemande qui y règne liée à son histoire. Les murs de nombreuses maisons sont recouverts d’essis de bois.

    De Santiago à Puerto Montt

    Nous sommes dans la région des lacs, alors nous décidons de faire une excursion en bateau sur le Lago Todo Los Santos, de Petrohué à Peulla, à 25 km de l’Argentine. On profite de points de vue sur les volcans surplombant la belle eau turquoise du lac.

    De Santiago à Puerto Montt

    Nous avons beaucoup apprécié cette région de lacs et volcans et nous nous apprêtons désormais à découvrir la Patagonie et à affronter le froid…


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  • Jeudi 26 avril, il est temps pour nous de rejoindre la Patagonie en avion. Nous avons la chance d’être près d’un hublot, nous pouvons donc admirer le paysage incroyable qui défile sous nos yeux : sommets enneigés de la cordillère des Andes, les fjords, de nombreux glaciers, des lacs à l’eau turquoise… Le plus beau vol jamais effectué !! On atterrit à Punta Arenas, quasiment le bout du continent sud-américain (plus bas, c’est la Terre de feu qui est une île). Le parcours en bus qui suit est moins incroyable… Ca commence par une navette porte à porte, c’est-à-dire un mini-bus de 25 personnes qui se font déposer chacune à l’endroit de leur choix. On bouillonne en attendant notre arrêt mais on arrive tout de même à attraper un bus pour Puerto Natales, à 3h plus au Nord.

    Parc National Torres del Paine

    Vendredi 27 avril, on prend les infos pour faire un trek dans le parc national du Torres del Paine. On se rend compte que par hasard, nos dates de présence dans le secteur correspondent parfaitement avec la fin de la saison. Tous les transports pour s’y rendre et les refuges du parc ferment le 30 avril. Ca nous laisse donc 3 jours juste avant la fermeture ! Ouf on a eu chaud ! Il existe un circuit appelé le W (car il a la forme d’un W sur une carte) qui se fait en 4 ou 5 jours. Nous le transformerons en U ! On termine la journée en achetant de la nourriture, des bonnets et des gants, car il ne fait pas chaud dans le coin…

    Samedi 28 avril, un van vient nous chercher à 7h30 à Puerto Natales. Le chauffeur est un chilien d’une soixantaine d’année avec un béret et des espèces de santiags. On roule dans l’obscurité en direction du parc Torres del Paine, un sanctuaire quasi désert de 230 000 hectares qui allie glaciers et lacs andins, forêts naturelles et steppes patagoniennes. Le jour se lève et le soleil enflamme les montagnes ainsi que la steppe à perte de vue.

    Parc National Torres del Paine

    On croise des guanacos (petits lamas) qui broutent paisiblement, des nandous (autruches d'Amérique du Sud) et quelques condors. On n’en avait jamais vu de si près et ils semblent gigantesques. Il y a environ 2h de route et avec le temps des formalités d’entrée dans le parc, on prévoit de commencer à marcher vers 10h. Mais c’est sans compter sur la longue pause café de notre chauffeur et sur la lenteur des transferts à l’entrée du parc. Bref, on attaque la rando à 11h20. Elle est annoncée en 7h et il ne va donc pas falloir traîner si on veut rentrer avant la nuit ! C’est assez costaud, ça monte sur la montagne au milieu de la steppe. C’est joli d’autant plus qu’il fait beau ce qui fait ressortir les couleurs d’automne. Au début, il fait un peu frais (environ 5°C) mais on est bien équipés. On traverse des rivières (ponts ou rochers) et on arrive à la montée finale : 45 minutes de pente raide au milieu de gros cailloux. C’est dur mais on y arrive ! Au sommet, on se trouve à la base des Torres : 3 pics granitiques impressionnants entourés de montagnes enneigées.

    Parc National Torres del Paine

    On profite de la vue. On pique-nique nos deux petits sandwichs et on fait des photos. Après une demie heure de pause, on redescend. On atteint le refuge après 7h de marche au total (22km). On est crevés mais ravis d’être arrivés avant la  nuit. On se réchauffe au refuge et on s’endort de bonne heure car ce n’est que la première journée…

    Dimanche 29 avril, la journée débute par un bon petit déjeuner au refuge. On rejoint l’autre côté de notre U en bus puis en ferry sur le lac Pehoé. Là encore, on profite d’une vue spectaculaire sur les montagnes. Puis, on reprend la marche. Malheureusement, le paysage est un peu différent car un incendie a récemment (fin décembre 2011) ravagé cette partie du parc. Toutefois, la vue sur le lago Grey où flottent de petits icebergs compense bien. Au bout de 2h, un mirador nous offre une première vue sur l’immense glacier Grey au loin. On poursuit pour s’approcher un peu plus près (1h30 de marche supplémentaire avec des descentes un peu raides). Il est bien plus gros et plus bleu que les deux glaciers que nous avions vus en Nouvelle-Zélande.

    Parc National Torres del Paine

    La nuit tombe, nous dormons dans un autre refuge. Comme c’est la dernière nuit de la saison, le personnel du refuge nous offre un pisco sour (apéritif local). Ca nous réchauffe un peu !

    Lundi 30 avril, on se réveille avec une mauvaise surprise : il pleut… Mais nous n’avons pas le choix, il nous faut redescendre pour prendre le dernier bateau à 12h30. La mise en route est difficile car il faut reprendre en sens inverse toutes les raides descentes de la veille ! Le sentier est plutôt humide et on patauge dans la boue et les mini ruisseaux qui se sont formés. Heureusement, on ne se prend que quelques petites averses ponctuelles et on arrive en bas avant que le temps ne se gâte sérieusement. On reprend le bateau et on refait le chemin en sens inverse jusqu’à Puerto Natales avec le même chauffeur et la même pause café (!!!).

    Trois belles journées dans un parc magnifique s’achèvent. Les jambes lourdes, le corps un peu frigorifié par l’attente, mais de beaux paysages plein la tête, nous nous reposons à l’auberge pour la soirée.

    Mardi 1er mai, jour férié aussi pour les chiliens, nous reprenons le bus pour Punta Arenas et nous attendons le lendemain pour continuer notre périple vers la Terre de Feu : 12h de bus pour atteindre Ushuaïa. La suite dans la rubrique Argentine !


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  • Nous voici de retour au Chili mais cette fois pour découvrir le nord et notamment la région du désert d’Atacama, le désert le plus aride du monde. Depuis Salta, mercredi 23 mai, nous avons pris un bus pendant 8h dans des paysages désertiques très beaux (mais nous avions déjà parcouru une partie de cette route avec la Gol) pour atteindre San Pedro de Atacama (2400m). Cet ancien village perdu au milieu du désert est aujourd’hui le centre touristique de la région : dans les ruelles de sable se succèdent hôtels, restaurants, agences, hôtels, restaurants, agences, hôtels … bon on s’arrête là, vous avez compris l’ambiance de ce bourg ! Ca nous a un peu rappelé Koh Phi Phi, en Thaïlande…

    Le désert d'Atacama

    Depuis là nous avons rayonné en faisant quatre excursions en mini-bus pour changer un peu.

    Pour la première, celle que nous avons le moins aimé, il était prévu d’assister au coucher de soleil dans la Vallée de la Luna. Après un rapide mais joli stop à un mirador sur la Vallée de la Muerte, on se dirige avec notre groupe et notre guide vers la vallée de la lune. Il s’agit d’une partie du désert faite de sable et de dunes bien sûr mais surtout de roches aux formes et tailles diverses. Comme par exemple les Tres Marias. On parcourt également un petit tronçon dans une grotte totalement obscure. Tout le groupe traîne pas mal et du coup, on arrive trop tard pour le coucher de soleil… Le ciel est déjà bien rouge foncé. Bref, c’était joli mais sans plus.

    Le désert d'Atacama

    La deuxième excursion et non la moins fatigante, nous a conduit aux Geysers d’El Tatio (4200m). Les geysers sont à 90km de San Pedro par une route de montagne non asphaltée, il faut 2h pour s’y rendre. Les geysers étant beaucoup plus actifs au petit matin, toutes les agences s’y rendent au lever du soleil soit pour 6h30-7h… Nous voilà donc debout à 4h du matin pour aller voir ces fameux geysers. On arrive là-haut avec nos multiples couches de vêtements, il fait -10°C, un froid glacial ! On se promène au milieu des fumées plus ou moins hautes des 80 geysers en attendant que le soleil se lève pour nous réchauffer un peu (2°C). Petit-dèj sur le site et… … baignade dans une piscine naturelle d’eau thermale ! (oui oui à 4300m d’altitude et par à peine quelques degrés, nous avons réussi à nous baigner) L’eau était parfois très brûlante, c’était agréable. La sortie un peu moins…

    Le désert d'Atacama

    On redescend vers San Pedro en passant par un petit village de montagnes (Machuca). On traverse le désert, qui est surtout constitué de roches, en longeant une partie de la Cordillère des Andes et on réalise bien que nous sommes à nouveau au Chili, car on voit de nombreux volcans, tous plus impressionnants les uns que les autres ! Après-midi reposante, on en profite pour réserver une séance d’astronomie pour la soirée.

    Une fois la nuit tombée, on part découvrir les mystères des étoiles dans le ciel le plus pur de la planète (plus de 300 nuits sans nuages par an). Et c’est vrai que c’est spectaculaire. On observe le ciel à l’œil nu puis à travers d’énormes télescopes. (On a ainsi pu admirer Saturne, Mars, les cratères de la Lune ou encore la Voie Lactée). Seul bémol, l’astronome est canadien et on ne comprendra pas tout durant la soirée.

    Pour la troisième excursion, nous nous rendons à la Laguna Cejar, qui fait partie du salar d’Atacama. Il s’agit d’étendues d’eau avec une concentration très importante en sel. En s’y baignant, on flotte. On a testé et oui, on a flotté, même sans les mains ! Impossible de couler dans ces eaux, idéal pour apprendre à nager !

    Le désert d'Atacama

    Une fois tout le monde sorti de l’eau, les ondes de la lagune se calme et un magnifique reflet des montagnes et volcans environnants apparaît. Magique. En sirotant un pisco sour (apéritif local), on assiste à un somptueux coucher de soleil à cet endroit : on ne sait plus où commence le ciel et où termine la terre.

    Le désert d'Atacama

    Dernière excursion, un peu plus lointaine que les autres : les lagunes altiplaniques à 120 km de San Pedro. On commence par un arrêt à la Laguna Chaxa, au milieu du Salar d’Atacama, pour aller admirer les flamants roses qui y vivent.

    Le désert d'Atacama

    Puis, passage par Socaire, petit village où nous voyons quelques cultures en terrasses. Et enfin, l’apothéose, nous arrivons aux lagunes altiplaniques à 4200 m d’altitude. Deux petits lacs nichés entre les montagnes, d’un beau bleu foncé et entourés d’un liseré blanc. Nous avons même la chance d’y voir des vigognes qui pâturent. Joli paysage qu’on dirait encore une fois tout droit sorti d’un film !

    Le désert d'Atacama

    Le désert d’Atacama est une belle région totalement différente de ce que nous avions déjà vu du Chili. Même si nous avons trouvé San Pedro de Atacama un peu trop touristique, nous sommes contents d’avoir pu découvrir cette région.

    La suite de nos aventures très bientôt dans la rubrique Bolivie, avec la découverte des paysages incroyables du Sud Lipez et du Salar d’Uyuni…


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